Instituts de recherche technologique / Instituts pour la transition énergétique
Dans le cadre du programme Investissements d’avenir, lancé en 2010 par l’Etat français, des structures thématiques pluridisciplinaires ont été créées, associant les compétences de l’industrie et de la recherche publique : les instituts de recherche technologique (IRT) et les instituts pour la transition énergétique (ITE).
Leur ambition ? Contribuer au développement industriel de produits et de services, en couvrant l’ensemble du processus d’innovation. Les IRT et ITE visent à renforcer la recherche dans des filières technologiques stratégiques, en lien étroit avec les pôles de compétitivité.
Quatre domaines d’excellence industrielle
Grâce à ses multiples implantations sur le territoire, Arts et Métiers prend part à cette dynamique, en participant à trois instituts de recherche technologique : l’IRT M2P à Metz, spécialisé dans les matériaux, la métallurgie et les procédés ; l’IRT Jules Verne à Nantes, qui travaille sur les matériaux composites ; et l’IRT Antoine de Saint-Exupéry à Bordeaux-Talence, dédié aux matériaux composites à matrice céramique et les assemblages innovants.
Arts et Métiers est également partenaire de l’ITE INEF4, l’institut national d’excellence en matière de recherche et d’innovation du secteur de la construction et de la réhabilitation durables.
Laboratoires communs
Pour Arts et Métiers, l’innovation s’inscrit dans une dynamique collaborative. Elle associe notamment les meilleures compétences scientifiques de l’école aux expertises de partenaires académiques et industriels. Des alliances indispensables pour relever les défis de l’industrie du futur.
Mutualisant leurs points forts, plusieurs laboratoires communs ont été montés pour développer des recherches dans des domaines de pointe : les techniques d’usinage à l’outil coupant, avec l’entreprise Saint Jean Industries (LUMIERE) ; le déroulage et le placage du hêtre, avec la société Brugère (BOPLI) ; un code avancé de recherche en modélisation électromagnétique, avec EDF R&D (Lamel) ; les matériaux et procédés innovants au service du véhicule du futur, avec PSA, le CNRS, Georgia Tech et le Luxembourg Institute of Science and Technology (OpenLab Materials and Processes) ; les risques professionnels, avec l’Institut national de recherche et de sécurité (laboratoire “Conception sûre de situation de travail”) ; la mécanique des milieux continus, avec le CNRS et l’Università Degli Studi Dell’Aquila (Coss&Vita) ; ou encore les interactions et la navigation automobiles, avec Renault (LiV).
Recherche partenariale
L'association d'expertises, au cœur de la recherche.
Pour Arts et Métiers, l’innovation technologique repose sur des relations étroites et fructueuses avec ses partenaires académiques et industriels. Une stratégie collaborative qui s’appuie sur des dispositifs de pointe.
Transports, énergie, santé, habitat, production : les activités scientifiques d’Arts et Métiers sont consacrées à plusieurs défis de l’industrie du futur, auxquels répondent les laboratoires de l’établissement. "Notre stratégie repose également sur la complémentarité des expertises, indique Ivan Iordanoff, directeur général adjoint de la recherche et de l’innovation. Dans ce cadre, Arts et Métiers noue des partenariats avec le monde industriel et des organismes d’enseignement et de recherche."
Une implication forte dans les pôles de compétitivité
Sept laboratoires communs ont ainsi été créés, dédiés à des thématiques variées – des matériaux et procédés innovants pour les véhicules du futur aux techniques d’usinage, en passant par la mécanique des milieux continus. Une chaire d’enseignement et de recherche a vu le jour en 2014 : Mines urbaines. Associant Arts et Métiers à Chimie ParisTech et Mines ParisTech, ses travaux, orientés sur le recyclage et l’éco-conception, sont dédiés aux déchets d’équipements électriques et électroniques.
Grâce à ses nombreuses implantations, Arts et Métiers s’investit dans de nombreux pôles de compétitivité – des structures thématiques aux ambitions internationales, situées dans les principaux écosystèmes d’innovation. Plusieurs thématiques sont privilégiées, comme la mécanique, l’énergie, le numérique ou l’aérospatiale. L’établissement s’associe également à trois instituts de recherche technologique (IRT) et un institut pour la transition énergétique (ITE).
Les dispositifs d’Arts et Métiers au service de l’industrie
La dimension partenariale de la recherche repose aussi sur les outils et dispositifs mis en place par Arts et Métiers. C’est le cas des plateformes technologiques : l’ensemble de ses moyens matériels et humains, dans un domaine spécifique des sciences de l’ingénieur, est rassemblé en un seul lieu, au bénéfice des équipes de recherche et des entreprises.
Afin de répondre aux besoins du monde industriel, deux structures de l’établissement jouent un rôle essentiel : l’Institut Carnot ARTS (Actions de recherche pour la technologie et la société) et AMVALOR. La première s’appuie sur les expertises de 20 laboratoires de recherche – ceux d’Arts et Métiers et d’établissements partenaires – pour proposer de nombreux services, comme des diagnostics technologiques et des études de R&D. AMVALOR, filiale de valorisation de la recherche d’Arts et Métiers, s’attache depuis 2016 à identifier les évolutions technologiques attendues par les entreprises pour leur apporter des réponses adaptées.
Le 4L Trophy suscite des vocations !
Pour la 20e édition du 4L Trophy, ils étaient 12 élèves-ingénieurs de 1re et 2e année à s’être embarqués à bord de leur véhicule totalement rénové par eux-mêmes. C’est avant tout une aventure humaine, vécue en binôme, pour ces bricoleurs passionnés.
Pôles de compétitivité
Les défis de l’industrie du futur nécessitent l’implication de multiples acteurs, associant leurs forces autour d’objectifs communs. Créés en 2004 par l’État, les pôles de compétitivité participent pleinement à cette dynamique en faveur de l’innovation.
À l’échelle d’un territoire, ils rassemblent des entreprises, des laboratoires de recherche et des établissements de formation sur des thématiques communes : énergie, transports, numérique… Ils jouent ainsi un rôle clé dans le développement de projets innovants. Grâce à la diversité de ses expertises et à son ancrage territorial, Arts et Métiers s’inscrit dans cette démarche collaborative en étant membre de plusieurs pôles de compétitivité :
Dédié aux matériaux et aux procédés, Materalia rassemble plus de 140 membres industriels et académiques. Situé dans la région Grand Est, le pôle dispose d’implantations à Charleville-Mézières et Metz. Ses projets portent sur les matériaux de demain, en termes de performances accrues, d’allègement, de fonctionnalités et de développement durable.
Unique pôle de compétitivité à se consacrer à la sécurité globale, SAFE Cluster réunit près de 600 membres. Situé en région Provence-Alpes-Côte d’Azur, il privilégie plusieurs thèmes : les villes et territoires résilients, la sécurité et la sûreté des infrastructures sensibles, la défense, les hélicoptères, satellites et dirigeables, les systèmes autonomes.
Associant les régions Nouvelle Aquitaine et Occitanie, Aerospace Valley regroupe un tiers des effectifs aéronautiques français et 8 500 chercheurs. Leurs compétences sont au service de projets de coopération, menés dans plusieurs directions : aéronefs, porteurs, équipements et motorisation, énergie, systèmes autonomes aéronautiques.
Situé en Loire-Atlantique, EMC2 déploie ses activités dans le domaine des technologies avancées, au service de six filières – aéronautique, naval, transport terrestre, énergie, nautisme et bien d’équipements. Le pôle de compétitivité est en lien étroit avec une filière régionale dynamique, celle de la mécanique et des matériaux.
ViaMéca, au cœur de la Auvergne-Rhône-Alpes, dédie ses activités aux innovations dans le domaine de la mécanique. Avec plus de 150 membres, le pôle de compétitivité consacre ses projets à quatre thèmes : l’ingénierie des surfaces, les procédés avancés de fabrication, les systèmes intelligents et la robotique, l’ingénierie des usages et des services.
ASTech Paris Région est un partenaire clé de plusieurs secteurs – lancement spatial, aviation d’affaires, propulsion, équipements par l’innovation. Avec plus de 260 membres, il impulse des projets dans différents domaines, dont l’énergie à bord, les essais et instrumentations, les matériaux et procédés, propulsion, architecture des véhicules et équipements.
Situé en Provence-Alpes-Côte d’Azur et en Corse, Capenergies s’appuie sur un réseau de plus de 500 membres pour répondre aux défis de la transition énergétique. Le pôle de compétitivité sollicite leurs compétences dans trois directions : l’efficacité énergétique, les systèmes énergétiques adaptés aux îles et zones isolées, et la production d’énergies décarbonnées.
iDforCAR est un pôle de compétitivité qui couvre, pour les régions Pays de la Loire et Bretagne, le secteur automobile. Ses enjeux concernent l’électrification des véhicules, le développement durable et de la diversification des formes de mobilité. Il porte notamment la plateforme d’innovation 3DMAT pour développer une filière numérique dédiée aux véhicules.
Fort d’un millier de membres, Cap Digital veut faire de l’Île-de-France une référence européenne du numérique. Il porte deux missions : le développement de projets de R&D et la création d’un écosystème favorable à la rencontre entre start-up et investisseurs. Cap Digital organise le festival Futur en Seine, rendez-vous annuel de l’économie numérique.
Situé en Bretagne, le pôle de compétitivité Images & Réseaux se consacre aux technologies numériques. Six thèmes sont portés par ses membres : réseaux et internet des objets ; Big data et multimédia ; sécurité et confiance numérique ; interactions, immersions, réalités mixtes ; logiciel et ingénierie ; et l’utilisateur, producteur collaboratif.
Le Pôle Nucléaire Bourgogne regroupe plus de 200 acteurs de la filière nucléaire française. Il se positionne sur plusieurs domaines d’activité : l’éco-réalisation et la durabilité des composants nucléaires ; le contrôle pour composants hautes performances ; la maintenance et le démantèlement en milieu hostile ; les bétons nucléaires, le génie civil et les bâtiments sensibles.
En région Provence-Alpes-Côte d’Azur, Optitec porte, avec plus de 200 membres, l’innovation dans le domaine de la photonique. Les technologies développées (lasers, fibres optiques, imageurs, diodes électroluminescentes, optique adaptative) intéressent plusieurs secteurs, comme l’énergie, l’environnement, la santé, la sécurité, les transports ou le spatial.
Le pôle de compétitivité SCS (Solutions Communicantes Sécurisées), en Provence-Alpes-Côte d’Azur, s’appuie sur plus de 300 membres pour couvrir l’ensemble de la chaîne de valeur des technologies de l’information et de la communication. Ses objectifs concernent le sans contact, les réseaux, les services mobiles, la sécurité et les identités numériques.
Plateformes technologiques
Arts et Métiers dispose sur l’ensemble de ses sites de plateformes technologiques de haut niveau. Chaque plateforme concentre, dans un domaine spécifique des sciences de l’ingénieur, tous les moyens matériels et humains d’Arts et Métiers. Les compétences des équipes sont ainsi fédérées autour d’équipements de haute technologie souvent à l’échelle industrielle.
Les plateformes technologiques contribuent directement aux relations entre les laboratoires de recherche et les entreprises. La plateforme Inovsys (Conception de produits et prototypes), sur le campus d’Aix-en-Provence, s’attache à relever des défis industriels variés, de l’optimisation d’un produit ou d’un process à l’introduction d’une nouvelle technologie. Elle propose de multiples équipements de pointe, dont des bancs d’analyse des comportements dynamiques et des outils d’ingénierie virtuelle.
Répondre aux problématiques industrielles
Par exemple, sept laboratoires de recherche Arts et Métiers, répartis sur la majorité des campus, présentant des activités fortes dans le domaine de l’usinage, se sont fédérés autour d’un Réseau National de la Connaissance appelée « Uppercut ». Le réseau s’appuie sur une plateforme multi-sites qui regroupe des moyens dédiés aux technologies d’usinage avancées pour mieux répondre aux défis industriels que sont l’usinage de matériaux à usinabilité difficile, le développement d’assistances à l’usinage, les modélisations analytique et numérique de l’opération de coupe. Cette plateforme permet de mobiliser de manière coordonnée les moyens à mettre en œuvre pour des projets d’envergure.
Autre exemple parmi beaucoup d’autres, la plateforme technologique Usine agile (robotique industrielle), mise en place sur le campus de Lille : elle a été créée pour répondre aux enjeux de production flexible dans l’automobile, l’aéronautique et le ferroviaire. Assistance au levage de charges lourdes, robots de travail collaboratifs ou encore platines de mesures d’efforts font partie des équipements mis à la disposition des chercheurs, étudiants et industriels.
14 plateformes technologiques réparties sur l’ensemble du territoire
L’Institut Carnot ARTS, qui fédère 20 laboratoires de recherche – ceux d’Arts et Métiers et de partenaires académiques –, s’appuie aujourd’hui sur 14 plateformes technologiques.
- Procédés d’usinage
- Fabrication Additive et Procédés Lasers
- Fonderie, Forge et déformations plastiques
- Composites & Polymères
- Bois
- Traitements et fonctionnalisations de surfaces
- Fatigue - choc – Tenue en service
- Conception de produits et prototypes
- Simulateurs et réalité virtuelle
- Robotique industrielle
- Biomécanique
- Turbomachines - Systèmes énergétiques
- Gestion de l’énergie électrique
- Grandes Souffleries
- Cassiopée
MASTÈRE SPÉCIALISÉ® MGR - MANAGER DES RISQUES
Créé en 2000 et fruit d'une collaboration étroite avec les entreprises, le Mastère Spécialisé® Manager des Risques s’inscrit dans la philosophie qui a présidé à sa création : seule une approche transversale, multidisciplinaire et intégrée des risques, s’appuyant sur des fondements scientifiques solides peut permettre de faire face aux incertitudes actuelles et accompagner le développement des entreprises.
Des incertitudes majeures touchent tous les secteurs économiques, en matière d’environnement, de société et de gouvernance. Dès lors, le management des risques et des crises devient incontournable dans toutes les organisations qui recherchent des collaborateurs formés et compétents, prêts à affronter ce nouveau monde en émergence. Le Mastère Spécialisé « Manager des Risques » forme ces professionnels.
Piloté par des enseignants-chercheurs, il s’appuie à la fois sur les derniers résultats scientifiques du domaine et sur les meilleures pratiques professionnelles d’une quarantaine d’intervenants en activité dans l’industrie, la banque, l’assurance et le conseil.
100% de ses diplômés sont en poste au plus tard 6 mois après la fin de la formation.
PROGRAMME
Contenu
La formation est structurée en 5 blocs de compétences qui font l’objet d’enseignements de début octobre à fin mars :
- BLOC 1 - Concevoir la politique de management global des risques en cohérence avec la stratégie et les activités de l’organisation
- BLOC 2 - Manager les risques opérationnels (industriels, professionnels et environnementaux) de l’organisation
- BLOC 3 - Piloter l’évaluation financière et la couverture financière et assurantielle des risques de l’organisation
- BLOC 4 - Piloter la gestion de crise et la gestion de la continuité d’activité de l’organisation
- BLOC 5 - Piloter le déploiement d’une stratégie de management global des risques
Après chaque module, une table-ronde de synthèse entre praticiens et enseignants-chercheurs est organisée sur un thème. Une visite sur le terrain permet de mettre en perspective les enseignements avec les réalités de l'entreprise.
Les stagiaires participent au colloque annuel de l’AMRAE (Association des Managers de Risques et d’Assurances en Entreprise). Un séminaire d’une semaine dans diverses entreprises est organisé à l’étranger
CALENDRIER
- Durée : 420 heures de formation
- Période pédagogique : Octobre/Mai – alternance 2 semaines à l’école et 2 semaines en entreprise
- Période professionnelle : Juin/Septembre – complet en entreprise
MODALITÉS D'ÉVALUATION
L’évaluation repose sur le référentiel de compétences du manager des risques défini dans le Répertoire National des Certifications Professionnelles. Elle s’appuie notamment sur les exercices suivants :
- Projets collectifs
- Mises en situation professionnelle
- Exercices de synthèse, à l’écrit et à l’oral
- Étude de cas
- Animation de réunion
- Note de synthèse thématique en anglais sur le séminaire à l’étranger
- Thèse professionnelle
Taux d’obtention du diplôme : 87%
LES POINTS FORTS
- Une formation reconnue par les entreprises
- Une approche globale des risques unique en France
- 75 % d’intervenants professionnels
- Un séminaire d’une semaine à l'étranger
- Un adossement à des recherches de pointes en management des risques
- 1er au Classement Eduniversal 2024 des meilleurs Masters, MS & MBA catégorie gestion des risques globaux
- 8.4/10 - Avis sur Mastère Spécialisé Manager des Risques (MGR)
- Une formation enregistrée au répertoire national des certifications professionnelles (RNCP38925)
DEBOUCHES
Métiers
- Entreprises : Cabinets de conseil, entreprises industrielles, secteur de la banque et de l’assurance.
- Fonctions : Risk manager, Consultant ERM, Ingénieur sûreté de fonctionnement, Responsable maîtrise des risques, Responsable HSE, Souscripteur d'assurances, Chargé de mission risques opérationnels...
100 % des diplômés trouvent un emploi moins de 6 mois après la fin de leur formation. Un tiers d’entre eux travaillent en industrie, un tiers dans la banque, la finance, ou l’assurance, un tiers dans le conseil.
Partenaires industriels
Aon, Groupe Bel, CEA, Crédit Agricole, Crisotech, Diot-Siaci, EDF, Electra, EY, Fresenius Medical Care, Hannover Re, HDI Global SE, INRS, IRSN, Kyu, onepoint, RATP Group, SCOR, Sonepar, Veepee.com, Verlingue, Verspieren.
Partenaires académiques
Arts et Métiers, Ecole Normale Supérieure de Rennes, The American College of Greece, CNAM, Université d'Evry, PolyTech'Grenoble, Université Paris Est-Créteil
Taux d'insertion : 100% à 6 mois
Compétences acquises
- Formaliser l’appétence au risque et la prise de décision dans l’incertain en prenant en compte les biais cognitifs associés
- Identifier les risques de l’organisation (financiers, industriels, environnementaux et professionnels) et les analyser (cartographie des risques).
- Concevoir les processus de management des risques avec les indicateurs associés
- Proposer des solutions de traitement des risques (techniques, organisationnels, assurantiels ou financiers
- Gérer les crises et la continuité d'activité
- Mettre en œuvre le dispositif de management des risques
CONDITIONS ET PROCESSUS D'ADMISSION
PUBLIC
- Salariés
- Etudiants
- Demandeurs d'emplois
PRÉREQUIS
- Diplôme d’ingénieur ou d’université (Bac + 5)
- Bac + 4 avec au minimum 3 ans d’expérience professionnelle
- Diplôme étranger équivalent
- Dérogation possible
PROCESSUS D'ADMISSION
- Session de recrutement à partir de Janvier
- Candidature en ligne : Admissions | Arts et métiers (artsetmetiers.fr)
- Sélection et entretiens des candidats à partir de Février
- Inscription définitive jusqu'à Septembre
Jury de recrutement
- Pour le jury du 12 février 2025, le dossier est à rendre le 3 février 2025
- Pour le jury du 19 mars 2025, le dossier est à rendre le 10 mars 2025
- Pour le jury du 30 avril 2025, le dossier est à rendre le 21 avril 2025
- Pour le jury du 28 mai 2025, le dossier est à rendre le 19 mai 2025
- Pour le jury du 2 juillet 2025, le dossier est à rendre le 23 juin 2025
Les dossiers sont à compléter en ligne.
Modalités pédagogiques
La formation est en alternance (planning 2024-2025) avec en moyenne 2 semaines en entreprise et 2 semaines sur le campus jusqu'à fin mai, suivie d’une période à plein temps de 4 mois en entreprise entre juin et septembre. Durant les périodes de cours se déroulent également les visites en entreprises, la participation aux rencontres de l’AMRAE et le séminaire à l’étranger.
Accessibilité
Cette formation peut être accessible aux personnes en situation de handicap, si vous êtes concernés, vous pouvez nous contacter afin de voir si un accompagnement spécifique peut être engagé.
COÛT DE LA FORMATION
- 14 000 € non assujettis à la TVA
Ces frais comprennent les cours, les supports écrits et l’encadrement pédagogique.
Frais de dossier : 75 € - La formation peut bénéficier d’un financement en fonction de la situation du stagiaire et de différents critères.
Plusieurs solutions existent : Contrat de professionnalisation, Contrat d'apprentissage, Transition Pro, CPF, Pôle emploi…. Pour connaître le financement auquel vous êtes éligible, et les modalités d’accès vous pouvez nous contacter par mail à : mgr@ensam.eu
Langue du programme : Anglais & Français
Crédits ECTS : 75
RNCP : 38925
Contacts
- Directeur pédagogique du programme : Marc Lassagne - Mail : mgr@ensam.eu / Tél : 01 44 24 63 03
- Adresse : 151, bd de l’Hôpital - 75013 Paris